• ... from France

     

  • Un mur de ressources adapté à chaque âge pour expliquer les attentats

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  • Album commémoration WW1

    Album photo Rockland/Charbonnières-les-Bains

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  • Source: site histoire-geographie académie de Lyon.

    http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/histoire/spip.php?article1018#1018

     

    A serious on climate change

    Ecoville est un serious game mis en place lors de l’exposition Climax à la cité des sciences et de l’industrie en 2005. En 2010, L’Ademe, l’association Hespul et des professeurs de l’académie de Lyon ont rénové le jeu et proposé un kit pédagogique complet. Le jeu est disponible en plusieurs langues dont le français et l'anglais.

    Le pitch du jeu : un territoire rural de 1600 habitants voit l’arrivée du ligne de train (TER). Cet espace péri-urbain va voir sa population d’accroître. L’enjeu est de gérer cette croissance de 1600 habitants à 7500 habitants tout en gérant les habitats, les activités, les déchets, les gaz à effet de serre, et les énergies. Le jeu et le kit pédagogique sont disponibles ici :http://www.ecovillelejeu.com/

    La séquence pédagogique décrite ci-après est un exemple d’usage du jeu en classe de seconde dans le cadre de l’accompagnement personnalisé. La démarche s’appuie sur les fiches du kit pédagogique et sur un Plan local d’urbanisme d’Ecoville. L’ensemble des ressources est disponible dans cet article. Des croquis construits par les élèves sont également présentés ici.

    D’autres serious games sur l’énergie existent et sont présentés dans cet article de synthèse : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/histoire/spip.php?article948

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  • Des nouvelles du lycée Blaise Pascal

     

     

    Des nouvelles du lycée Blaise Pascal

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  • LE MONDE | 11.03.2015 à 05h00 • Mis à jour le 11.03.2015 à 05h05 |

    Par Mattea Battaglia Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l'éducation, au collège Gabrielle-Séailles de Vic-Fezensac (Gers), le 14 novembre 2014. Le gouvernement s’attelle, mercredi 11 mars, à un exercice périlleux : étendre la « refondation de l’école » engagée à l’école primaire, en première partie de mandat, vers le secondaire. « Faire que le collège unique ne soit plus un collège uniforme », a souligné la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, en présentant son projet à la presse, lundi 9 mars.

     

    Quarante ans après la loi Haby, qui a tenu le pari de la massification de l’enseignement secondaire bien mieux que celui de la démocratisation, la gauche entend s’emparer de ce que l’on a coutume d’appeler, selon une formule un peu galvaudée, le « maillon faible » du système éducatif. Celui qui cristallise le principal défaut de notre école : être profondément inégalitaire, en triant les élèves plus qu’en les accompagnant vers la réussite. Un sujet sensible auquel la droite s’était bien gardée de toucher – se concentrant sur les programmes du primaire et le lycée –, mais qui s’impose aujourd’hui à tous, veut-on croire rue de Grenelle, tant le diagnostic est sombre : au collège, « les élèves s’ennuient, les parents se sentent démunis et les enseignants bridés », a résumé la ministre, lundi, faisant étant d’une « régression des [résultats des] élèves en dix ans », en français autant qu’en mathématiques ou en histoire. Triste constat pour justifier une réforme que la ministre entend bâtir « à partir de ce qui marche déjà sur le terrain », certes, mais en un temps record : elle n’a que la seconde partie du quinquennat pour l’achever. Et même moins, puisque le gouvernement s’est fixé comme objectif la rentrée 2016 pour mettre en place cette nouvelle organisation du collège – simultanément à l’entrée en vigueur des nouveaux programmes et du « socle commun » rénové. La forme en même temps que le fonds, en somme.

     

    Voici les principaux volets d’une réforme dont les détails – la « grille horaire » notamment – doivent être discutés avec les représentants de la communauté éducative à compter du 12 mars.

    EPI, pour « enseignements pratiques interdisciplinaires »

    C’est un nouvel acronyme qui pourrait trouver sa place dans la novlangue de l’éducation nationale. Il renvoie à des temps de travail prévus en 5e, 4e et 3e, privilégiant la pédagogie par projet, les petits groupes et l’interdisciplinarité. Objectif : permettre aux élèves de comprendre le sens de leurs apprentissages en les contextualisant, les croisant et les concrétisant dans des projets. Les enseignants seront eux-mêmes aux manettes, concevant la forme et le contenu de ces modules en fonction de leurs élèves – ici de leurs fragilités, là de leurs forces. C’est en tout cas le souhait du ministère, sûr que le corps enseignant est en demande de liberté pédagogique. « On doit s’adapter aux besoins des collégiens mais aussi à leurs goûts », a souligné Mme Vallaud-Belkacem, le 9 mars.

    Huit thématiques

    Huit champs thématiques donnent un cadre à ces modules interdisciplinaires. Pour devancer la critique d’un « collège à la carte » qui ne serait plus le même partout, un cadre est donné : les EPI s’inscriront dans des thématiques correspondant aux enjeux du monde actuel. Des thématiques dans l’air du temps : « développement durable », « sciences et société », « corps, santé et sécurité », « information, communication, citoyenneté », « culture et création artistiques », « monde économique et professionnel », « langues et cultures de l’Antiquité » et, enfin, « langues et cultures régionales et étrangères ». Des exemples de projets concrets seront proposés sur Internet.

    20 % du temps pour les « nouvelles modalités d’enseignement »

    Un cinquième de la dotation horaire globale (la « DHG », dans le jargon de l’école) : c’est la marge d’autonomie laissée aux professeurs des collèges pour développer ces « nouvelles modalités d’enseignement » valorisées par la réforme : les modules interdisciplinaires, le travail en petits groupes, l’accompagnement personnalisé, l’approfondissement disciplinaire… Un volume d’heures inscrit dans les obligations de service des enseignants, souligne-t-on au ministère de l’éducation, et qui représentera, côté élèves, de 4 à 5 heures chaque semaine.

    Une deuxième langue vivante dès la 5e

    C’est un an plus tôt que les collégiens commenceront leur deuxième langue vivante. Cette évolution rend obsolètes les classes bilangues et européennes, qui offraient jusqu’à présent ce privilège à quelques-uns – il est désormais promis à tous. Cette disparition pourrait susciter quelques crispations, tant du côté des parents d’élèves que des chefs d’établissement.

    Accompagnement personnalisé pour tous

    La réforme prévoit trois heures d’accompagnement par semaine pour les élèves de 6e – une façon de les aider à « devenir collégien » –, et au moins une heure hebdomadaire de la 5e à la 3e. De l’aide en petit groupe pour tous, quand elle se résume, pour l’heure, à deux heures hebdomadaires réservée aux 6e, assure le ministère. Avec un accent mis sur la méthodologie nécessaire pour sauter la marche du CM2 à la 6e : accompagnement dans la prise de notes et l’apprentissage des leçons, révisions, recherche documentaire, travail sur Internet…

    Le coût? « 4 000 équivalents temps plein »

    La nouvelle organisation du collège fait aussi une place à l’apprentissage des outils numériques, promet des emplois du temps plus adaptés aux adolescents, la généralisation de la « mallette des parents » pour rapprocher les familles des établissements… Pour quel coût ? A cette question, Mme Vallaud-Belkacem a donné une réponse aussi technique que lapidaire : « 4 000 équivalents temps plein ». Une référence aux 4 000 postes promis par son prédécesseur, Vincent Peillon, en décembre 2013 pour accompagner cette même réforme. 4 000… pour 7 100 collèges publics et privés.

     

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2015/03/11/ce-que-prevoit-la-reforme-du-college-2016_4591038_4401467.html#ZVmPlHKqhm5PCl36.99

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  • Bonjour à tous !

    Je m'appelle Géraldine Goyat et je suis enseignante depuis 5 ans à l'école maternelle Lumière à Lyon.

    J'ai une classe de 26 élèves, des "moyens et des grands" c'est-à-dire des enfants de 4 et 5 ans. Je n'ai pas toujours été enseignante et j'ai beaucoup changé de classes. Etant très curieuse, je suis toujours partante pour de nouvelles expériences.

    J'aime aussi les voyages "sac à dos", même si vivant seule avec ma fille adoptive Edda-Line, je ne peux plus beaucoup envisager de partir loin. Cet échange est une façon pour moi de voyager un peu car je ne connais pas du tout le Canada.

    J'aime les arts et la lecture. Mais malheureusement je ne maîtrise pas très bien la langue de Shakespeare, je conclurai quand même ce petit mot en anglais.

    I'm very happy to make this experience with Sharon.... See you soon, bye! 

    ... in France

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  • Bonjour,

     

    Je m'appelle Franck Micolier et je travaille depuis 17 ans à la Cité scolaire internationale de Lyon qui accueille des classes  de primaire, de collège et de Lycée, soit environ 2000 élèves d’origine sociale et géographique très diverse, avec pour une grande partie d’entre eux,  un profil international .

    Cet établissement est situé, au sud de Lyon, à la confluence du Rhône et de la Saône, près du parc Gerland. Il est entouré de laboratoires de recherche spécialisés dans les biotechnologies

    J’enseigne l’histoire-géographie, en français, à la fois en collège et au Lycée, mais aussi, en anglais dans le cadre de la DNL (Discipline non Linguistique ou CLIL).

    Cette année, dans le cadre des commémorations de la 1e Guerre mondiale, je coordonne, au sein du Lycée un projet  sur l’entrée en guerre et les premiers combats. Une exposition est prévue au sein du lycée.

    Je serai très content d’avoir des informations sur l’entrée du Canada, dans la 1e guerre mondiale. Quel était l’état d’esprit des populations canadiennes et notamment de l’Ontario ?  Quelles sont les motivations,  les interrogations, les inquiétudes suscités par l’entrée dans le conflit ?

     

    Cela de permettrait de comparer l’état d’esprit des populations des deux pays et au moment de l’entrée dans cette guerre qui se révèlera si meurtrière. 

    A Bientôt

    Franck Micolier 

     

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  • Bonjour,

    Je m'appelle Nathalie Blanchard et je travaille dans la même école que Delphine Duco, à Rive-de-Gier. Je suis enseignante en CM2 (c'est-à-dire que les enfants ont 10 - 11 ans), ce qui correspond en France à la dernière classe en école élémentaire avant le collège. J'ai 26 élèves cette année.

    Je suis enseignante depuis 10 ans. Avant, je travaillais dans l'industrie pharmaceutique.

    Je suis mariée et j'ai deux enfants : un garçon de 13 ans et une fille de 11 ans.

    Je fais beaucoup de sport (course à pied, natation, basket ball et VTT) et de la guitare. J'aime lire et voir de bons films. Je voyage depuis longtemps, j'ai vécu 6 mois au Japon quand j'étais étudiante. Une très belle expérience ! Je ne suis encore jamais allée au Canada, même si je m'en suis approchée cet été en visitant le parc de Yellowstone aux USA (c'est la photo de cet article !).

    Comme l'a dit Delphine, nos élèves viennent d'horizons très différents. Ils voyagent souvent pendant les vacances pour passer quelques semaines dans leur pays d'origine : Turquie, Algérie, Maroc, Tunisie, Portugal principalement. Nous aimerions leur faire découvrir la culture de l'Amérique du Nord.

    Nous sommes très impatients que le projet démarre !

    A bientôt !

     

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  • Hello

    my name is Patricia Venturini

    I.ve been an English teacher for 24 years !

    I've ended up as a teacher in a vocational school after testing both collège and lycée, just because it was more challenging!

    We are a small French vocational school : LP Sermenaz 


    We are training students in two main fields :

    *Customer Services *and *Retail
    *and

    *Protective Services *(fire security, law enforcement, private security).

     

    I went to Ottawa in 2009 . it was a two-week course for French teachers and we were hosted by the University of Ottawa. great memories

    I visted other parts of Canada after this course : Toronto, Montreal and Québec

    I finished this trip with New-York... no need to say that this summer is unforgettable.

    I will exchange with Carrie-Lynne from Cornwall.

     

     

     

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  • Hi everyone, Happy to join the team! I am Isabelle Bowley and I am an English teacher in Parc Chabrières high school, Oullins, near Lyon.

    If you want to know more about our school, here is the website address  : http://www.parc-chabrieres.fr/

    I've been an English teacher for... 24 years! I am married to an Englishman who is a head-chef in school restaurants. We have 2 daughters who are 24 and 21. Chloé does social studies in Marseille and Maxine is a rider for racehorses in Newmarket, England.

    I'll be working on the project with a class of "seconde". Twenty four 15-to-16-year-old students altogether.

    My Canadian partner is Cindy and we have already sent a couple of messages to each other. Looking forward to receiving the video of her students!

     

     

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